Les conditions essentielles de la réussite d'un séjour à Rodellar : savoir prendre le rythme espagnol et savoir jouer du genou.
Pour la première aucun problème pour nous, se coucher à pas d'heure et se lever en fin de matinée, c'est trop facile.
Quant à la deuxième, en purs grimpeurs du 06, on a toujours nos genouillères dans le sac.
Rajoutez à ça : l'accueil espagnol, les ballades dans une nature sauvage, les rencontres avec des grimpeurs de tous pays toujours prêts à échanger leurs expériences et leurs impressions et la bonne surprise de retrouver sur place des amis grimpeurs en trip grimpe eux aussi, alors oui, ce petit mois de vacances nous a plu à tout point de vue.
"Sopas de Ajo" 7b+ une des classiques de la Gran Boveda
On commence par un repérage des secteurs les plus connus.
Les voies faciles de "Pince sans rire" courtes et physiques , tout le contraire des classiques de ce même secteur :
Les petites grandes voies du "Piton do cuervo":
Le mur technique de "Traversia de Los Angeles" vu de la Gran boveda :
Le même vu de profil avec la Gran Boveda en fond :
La Gran Boveda où nous passerons une grande partie du séjour :
"Aquest Any Si" le méandre du Mascun :
L'imposante "Surgencia" :"El delfin" bien facile à reconnaitre pour sa forme caractéristisque :
Et quelques manifestations végétales à portée de pied.
Des crocus à peu près partout :
Des fleurs de rocaille :
Et un samouraï fossilisé en pleine paroiA suivre...
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